One more step Please complete the security check to access xdiva.ch Histoire de Dauphiné et des princes qui ont porté le nom de dauphins..-Jean-Pierre Moret de Bourchenu Valbonnais, Fabri, Barrillot, Couvent des Carmes déchaussés, Académie des sciences, belles-lettres et arts-Google Books PARENT-DUCHÂTELET Alexandre, La prostitution à Paris au XIXe siècle, Paris, Le Seuil, coll. Lunivers historique, 1981. Courtisane du IV e siècle, à qui un moine avait parlé de la damnation éternelle si elle ne se repentait pas. Elle vendit tous ses biens mal acquis et se fit enfermer pour sa pénitence. Trois ans plus tard le moine revint la voir pour lui apporter le pardon de Dieu. Elle mourut quinze jours après. Ce site utilise des cookies afin de vous offrir une expérience optimale de navigation. En continuant de visiter ce site, vous acceptez lutilisation de ces cookies. Image source: https:ofsp-coronavirus.chtelechargements Par les nouvelles mesures dassouplissement du 6 juin, la Suisse est entrée dans une nouvelle.., qui sexerce dans des lieux de rencontres soustraits à la vue du public article 8 LPros; AMB, Rapport des commissaires de police, année 1895, I1 51. 10Excepté les années 1856 et 1891, les filles âgées de moins de 26 ans sont aussi nombreuses que celles âgées de 26 à 34 ans. Par contre la proportion de femmes de plus de 35 ans ne cesse de saccroître : de 7 en 1856 à 11 en 1876. Pour les années 1886, 1891 et 1896 leurs pourcentages varient entre 13,5 et 15,5. En cas dannonce incomplète ou non conforme, celle-ci est automatiquement refusée et louverture du salon est interdite. Vous avez repéré une faute dorthographe, veuillez nous en informer en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl Entrée ou par. Jai tapé Salon érotique sur Genève, jai vu Le Venusia. Je me suis présentée.. Cest tout ce que je veux : protection et propreté. Cest une belle clientèle.
40Les pensionnaires nétant plus dans la rue, la surveillance des maisons de tolérance dès les premières années de la Troisième République se limite à des rondes afin dassurer que le bon ordre y règne. La police sefforce de rechercher celles qui accueillent des filles publiques ou clandestines sans autorisation. Avec la réglementation de 1848, aucune fille publique na le droit de loger ailleurs que dans des maisons autorisées à les recevoir. En parallèle, défense est faite aux locataires et propriétaires de loger des femmes et filles se livrant à la prostitution. Dans ce cas, ils sont considérés comme des logeurs clandestins. Cette interdiction est rarement respectée, surtout dans le canton Nord. Pour la police il faut avant tout faire cesser la crainte de nuire aux intérêts des propriétaires et loueurs de chambres en garni devant lintérêt général des mœurs publiques. I1 arrive que ladministration reste impuissante. Ainsi, des habitants de la rue du Chateur, dans un courrier anonyme envoyé à la police, se plaignent que la maison louée par Madame C. Soit une véritable maison de prostitution : au premier étage, elle comporte trois chambres garnies dont une est habitée par deux jeunes filles qui interpellent les passants par la fenêtre et amènent des jeunes gens chez elles. Or, cette femme après enquête de police semble être protégée. Le commissaire se borne à lenvoi dune lettre au sénateur-maire, dans le but de dégager la responsabilité de la police et du service des mœurs. Don Juan : Partant dune initiative de lAide Suisse contre le Sida, le projet Don Juan sadresse aux clients des prostituées de rue. Léquipe Boulevards a participé à la mise en place de ce projet. Il sagit dune action ponctuelle, développée en collaboration avec lAide Suisse contre le Sida, le et Fleur de PavéLausanne. Aspasie est une association de défense des qui se définit comme suit : association de lutte contre la discrimination et lexclusion, pour la dignité des personnes travaillant dans le marché du sexe. 26Ces maisons ne sont pas seulement des lieux pour satisfaire la sexualité masculine, elles sont aussi des lieux de détente ; les hommes sy rendent en bande et lalcool nest pas absent des soirées. Les exemples abondent dans les rapports de police : on relève trois manœuvres, un chauffeur et un horloger qui finissent la nuit au poste pour tapage dans une maison, tandis quun agent de police termine sa soirée rue Sachot après avoir été danser à La Butte. Dans les dernières décennies du siècle, on commence à percevoir une modification de la demande sexuelle qui se traduit par une augmentation des filles isolées et des clandestines. Les militaires et les civils vont peu à peu sadresser à elles. Le recours à cette forme de prostitution est facilité après 1890 par la libéralisation des débits de boissons. 11Durant la moitié du siècle, il semble que la moyenne dâge des filles en maison sélève tableau n o 3. Ce qui napparaît pas dans ces statistiques, cest labsence de filles de moins de 21 ans. On en dénombre deux pour lannée 1876. On peut donc penser quest respectée linterdiction de prendre des filles mineures comme pensionnaires. Lisa, était auparavant prostituée à Paris, cest ainsi quelle a rencontré son mari. Depuis dix-sept ans, elle est la patronne des lieux : Par principe je donne leur chance à toutes les filles. Par contre, il faut aussi provoquer la chance. Si après avoir déjà vu quelques clients tu nas pas été choisie.. La chose qui ne peut dépendre que de toi : cest la tête que tu fais! Il faut être avenante. 17Les contraventions dressées par les agents nous renseignent sur lintérieur des maisons de tolérance. Dans la soirée, les agents effectuent une ronde dans les maisons, ils verbalisent les femmes ivres, celles qui font du tapage le plus souvent avec des soldats. Ils font aussi le décompte des filles pour punir celles qui découchent. Parfois lagent arrive au moment où des filles se bagarrent entre elles ou avec le ou la tenancière M. L, tenant une maison rue Sachot, est verbalisé pour coup et blessures sur des filles publiques dans son domicile. Cest avec les militaires que les relations sont les plus conflictuelles, ils battent les filles, les blessent avec leur sabre.. Quand Μ B. Refuse douvrir sa porte à des soldats, ils ramassent des pierres et enfoncent le guichet. Lépoux de la tenancière de la maison voisine les prient de partir mais ils lont insulté, attrapé et traîné dune rue à lautre. Ils peuvent aussi effectuer ce quon appelle des descentes. Un soir de novembre 1889, vers 21 heures, 25 à 30 artilleurs du 10 e bataillon de forteresse se sont introduits dans les maisons n o 15, 17 et 21 de la rue Sachot où ils ont brisé tous les carreaux, éteint tous les becs de gaz et enlevé la porte grillagée au n o 21, ils ont également menacé de tout casser et de les faire sauter avec de la poudre. À larrivée des agents ils avaient déjà tous pris la fuite. Annie, S Ed. 2000. Archives de la peur : Les populations à risque dans la Franche-Comté au xix e siècle. Presses universitaires de Franche-Comté. Doi :10.4000books.pufc.2401 SHACKELFORD George T M, REY Xavier dir, Degas et le nu, cat Exp. Boston, 2011-2012 ; Paris, 2012, Paris, Hazan musée dOrsay, coll. Catalogues dexposition, 2012. .